Je ne passe pas inaperçu non parce que j’ai hérité de la beauté d’Achille ni l’intelligence d’un Einstein. Tout simplement parce que je révulse la logique des hommes et que je fou en l’air tous qui est interdit. Je marque les esprits par mes mots poignant que mes actions trop impulsifs pour certains ou complètement inadmissible. J’aime voir naitre la curiosité des gens, les bousculer de toute rationalité. Ébranler le conventionnelle, faire éclater les traditions. Narguer les croyances, les regarder se battre pour affirmer quelque chose qui n’est qu’illusion fabulé par une conscience malade. Le poste de police, un endroit que je me permets de visité quelque fois. Le chef de la police je le vois déjà exaspéré à ma vue. Arrêté pour tapage nocturne, amende pour avoir grillé un feu rouge…Bref je n’ai pas vraiment l’étiquette du parfait citoyen. On peut me décrire en une ligne, comme tout le monde le répète dans mon dos :
« Le connard fou d’Australie. » Je ris à demi à cette appellation pas complètement fausse, j’espérais un peu d’innovation de la part de ces citoyens. Ah, ça me vexe ! Être décrit dans une si minable phrase, elle est courte quoi ! Bon j’arrête de monologuer sur moi-même, a vos claviers mesdames et messieurs.
Toutes les folies, improbables, bizarreries ! Proposez-moi. Des idées mes petits ? Vous gêner pas ! J’étudie toute proposition !
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Je ne mords pas les petits, puis je suis gentil moi =)
Merci déjà de vous intéresser a mon personnage ! <3

✣ (M) ↘↘Quelqu’un qu’il aime bien l’emerder dés que leurs chemins se croisent, ils se détestent mutuellement sans raison valable. Derek n’étant pas vraiment apprécié à Painswick, on va dire qu’il bouscule le p’tit train train tranquille de la ville. Non conventionnelle, conflictuelle. Il provoque sans raison, déjoue l’esprit conservateur des villageois. Un personnage qui n’aime pas le changement, ayant des valeurs bien encrés. Il exècre particulièrement le caractère de Derek le prenant pour cible des que l’occasion se présente.

✣ (F) - ↘↘La fille du pasteur ; je vois déjà vos tête à la lecture du lien, héhé. N’est pas nécessairement la fille du prétendu pasteur, Derek l’appel ainsi parce qu’elle ressemble à un personnage d’un livre qu’il là eu étant enfant. Rose-Marie, Marie-Rose c’est comme ça qu’il là taquine à chaque fois. Je ne sais pas j’ai eu un coup de foudre pour ce prénom, libre a vous de proposer d’autre ? Ça ne l’empêchera pas de l’appeler ainsi. Il a une relation plutôt fraternelle avec elle et ne rate aucune occasion de là narguer.
Une anecdote pour cerner mieux l’idée que j’ai :

Citation :

Le réveil fût pénible, j’étais complètement largué après une soirée arrosée au pub. Je me souviens même pas qu’elle connerie j’ai pu sortir encore, en voyant l’énorme hématome qui cerclé mon œil droit. Ce taré ne pas raté, qu’ils sont impulsifs ses dégénérés aux idées étroites. Après une douche froide, le temps que je me dégourdie les muscles. Je me suis habillé vite fait, passant un coup de peigne rapide pour dompté ma chevelure. Je trouvé un peu maussade, une visite chez le coiffeur s’imposé.
Sorti chez le coiffeur du coin, enfin le seul de la ville. Présentable du moins il resté les traces de mes gloires nocturnes bien marqué sur ma gueule. D’un pas trainant je déambulé dans les rues peuplé d’Orchard Street. Apercevant la pâtisserie, je me suis attardé quelques minutes à contemplé la vitrine alléchante avant de me décider d’entrer. La clochette retentit signalant l’arrivée d’un nouveau client. Je contemplé chaque étagère avec admiration, il fallait dire que mon estomac crié famine.
Comme un petit enfant exalté devant ses sucreries, moi je me permettais de me régaler visuellement avant de contenter mon palet. Une voix féminine me tira de ma contemplation, les mains légèrement crispées. Contrarié d’avoir été interrompu dans un de mes passe-temps favoris, je ne daigné pas relevé la tête. Reconnaissant la voix légèrement exaspérante de la jeune femme, une moue ironique sur mes lèvres.
« Bonjour à toi aussi, Rose-Marie, Marie-Rose » Dis-je moqueur.
Je ricané intérieurement, en entendant un long soupir. Je l’avais encore énervé la petite, et je ne me lassais jamais de la provoquer de si bon matin. Quoi de plus amusant de jouer avec ses nerfs, je ne nie pas je suis cruellement bon a son jeu diabolique. Mon choix fait, je relevais la tête en sa direction. Prévoyant déjà sa réaction. Ses yeux lancé des étincelles, elle me fixé du regard insistante. Les bras croisés comme déterminé.
« Combien de fois, faut-il que je te le répète, Je m’appelle Vanessa ! Ce n’est pas difficile comme prénom. Bon dieu tu persiste à me rappeler par ce misérable prénom Derek ! » Fulminait-elle.
Un sourire goguenard, étira mes lèvres. C’est vrai que son prénom était facile et habituelle mais trop lisse, trop rien. Un Rose-Marie lui colle a la peau, tant pis si elle l’aime pas. Moi j’adore.
« Allons Rose-Marie, ce n’est pas comme ça qu’on accueil un bon vieux client ! » Dis-je feignant l’indignation. Prenant un ton sérieux, je me rapproché du comptoir où se trouvé la jeune femme.
« Ma sœur, j’ai péché aujourd’hui. Je crois que j’ai tué un écureuil, je ne lui voulais pas de mal mais il persisté à me volé mes noisettes…Je crois que je vais lui prendre une tarte au fraise, elle égayera probablement sa tombe » Dis-je, solennel.
Un rictus d’indignation se dessina sur son visage, elle me tira par le col de ma chemise et répliqua :
« Tu me prends pour une none ou quoi ? Arrête avec tes blagues de mauvaises goût, puis si tu là vraiment tué t’es vraiment qu’un pauvre type ! Pitoyable. »
Je me tiré de ses griffes, l’air faussement accablé. Je me mordis la longue pour ne pas éclater de rire avant de lancer : « Je crois que tu ne t’es pas confessé aujourd’hui, ma sœur. Je vois que ta foi n’est pas si forte que tu le prétends…Il faut que tu me pardonne mes péchés sinon je vais mourir de culpabilité » Dis-je suppliant. Joignant le geste à la parole, je mis à genoux sous les yeux exorbités de Rose-Marie et la clientèle qui me prenait surement pour un fou.
« Ma sœur, il faut que tu me pardonne. Je ne sais pas ce qu’il ma pris. Je crois que c’est le diable qui me donne ses idées malsaines. Je n’irai pas d’ici jusqu’à ce tu me pardonne ma sœur ! Je suis qu’un imbécile mais je vais changer. Je le jure, pardonné mes fautes je vous en supplie ! » Les larmes aux yeux. Je me surprenais-moi-même, j’avais acquis un certain don dont l’imitation.
Rose-Marie, avait le regard sombre. Elle ne disait rien mais je sentais que sa colère allait s’abattre sur moi rapidement. L’atmosphère de la boutique était palpable, je sentais bien que leurs regards me fixaient mais ça ne me dérangé nullement. Moi continuant à faussement me lamenté sur mon sort si bien qu’une vieille femme vienne me réconforté. Tous le monde regardé a travers Rose-Marie, se sentant oppressé et après que son patron lui glissé un mot. Elle fini par abdiquer, les joues en feu.
« Je te pardonne, pour cette fois-ci » assénât-elle péniblement.
Elle me traina dehors, en murmurant des insultes. Moi je là suivais, vainqueur encore une fois.

✣ (M) ↘↘ Quelqu’un qu’il l’aurait rencontré à l’une des soirées bingo de la ville, ils ont une relation assez bizarre. Vu que ce dernier l’ayant surpris à usurpé l’identité du défunt fils de Gary Temple. Un vieux de 70 ans, atteint d’Alzheimer. Va sans dire qu’il a une mémoire défaillante, le plus drôle dans cela c’est que Gary croit vraiment que Derek est son fils, peut-être qu’il lui ressemble physiquement.
Derek s’amuse à ses petites soirées où il devienne dans l’espace d’une nuit Mark Temple, le fils adoré de Gary. Lorsqu’il s’est rendu la première fois à la soirée bingo, il n’avait pas eu l’idée folle de se créer ce personnage. C’est Gary Temple lui-même qui s’était soudainement prit d’affection du jeune homme, le serrant dans ses bras et disant haut et fort « T’es revenu mon fils ! ». Puis il ne sait plus vraiment pourquoi, il commencé apprécier Gary. Peut-être qu’il devenait plus humain finalement. Le personnage qui a découvert la supercherie ne là pas dénoncé, étrange réaction. Derek ne sait pas vraiment quoi penser de lui, pour l’instant il préfère laisser choses évoluer d’elles même.

✣ (M)↘↘
Quelqu’un qui ressemblerais fortement a son défunt frère, Jeremy. Physiquement que mentalement, leur rencontre fût des plus anodine. Derek se surprends à redécouvrir son côté fraternelle, bien veillant. Il va sans dire qu’il est moins âgé que Derek, a un caractère complètement opposé. Bon je n’ai pas encore d’idée précise sur le lien, je le peaufine encore.