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| Sujet: paper town Mar 9 Juin - 17:10 | |
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AVATAR + MAX IRONS- CRÉDIT + MAXIRONSSOURCE
Seyton Benjamin Clare ❝ Ce qu’on aime avec violence finit toujours par vous tuer. ❞ ✣ NOM : Clare. Il aimerait dire qu'il possède un lien quelconque avec John Clare. Mais, il ne peut pas. Puis, il s'en fout, royalement. Clare surtout comme Rufus Clare, McClare. Circoncision du Mc pour forcer l'intégration et faire jouir les bureaucrates anglais. ✣ PRÉNOM : Seyton parce qu'il a fallu que sa mère soit lettrée et qu'elle porte une admiration tendancieuse envers Shakespeare. Il n'a jamais compris l'engouement du monde pour des paroles puant l'amour. Ça suinte de partout, même la ponctuation en est gorgée. ✣ ÂGE : vingt huit ans. Évidemment que le temps fuit, évidemment qu'il n'en a strictement rien à cirer comme du reste. Les hommes sont comme le vin, après tout. Cela dit, maturité n'a pas l'air d'avoir reçu l'info. ✣ LIEU DE NAISSANCE : Painswick, c'est harassant, agaçant et pourtant la stricte vérité. Il est né dans ce coin oublié des dieux où pullulent les consanguins. La lumière n'atteint jamais tous les étages. C'est le système qui veut ça, la génétique, surtout. Quelqu'un a surement posé une annonce invitant tous les cons à affluer dans la région. Painswick ou Conland. On y vit heureux et con. voila. ✣ MÉTIER/OCCUPATION : conservateur territorial du patrimoine. Passionnant, vraiment. Si le sens vous échappe, Seyton n'est certainement pas celui qui risque de vous orienter. La seule réponse possible reste encore : google. Croyez-le ou non, il s'avère souvent être ami. ✣ SITUATION AMOUREUSE : maladroite, toujours. Il a la glotte amourachée de mademoiselle Jackie Daniels. Theakston. Guinness. Ethanol dépendant, amoureusement dans la merde, Seyton est ralove. Son coeur bat pour l'alcool. C'est alarmant. Bête et méchant. L'amour il a donné et depuis, il s'en tient éloigné. Il a mis du temps à en guérir. Pas besoin de piqure de rappel. Pas de besoins sauf les primaires. Et ceux là, pas de coup de coeur, juste des coups de reins ✣ ORIENTATION SEXUELLE : femme. belles, moches, cultivées, stupides. Blondes, brunes. Petites, grandes. Il existe une vérité absolue sur laquelle tous les mecs statuent et qui fait hurler cesdames. De toute façon, après six verres ( sa tolérance a augmenté ces dix dernières années) avec son sourire embué, il prend tout ce qui vient. Sans jouer les délicats. De ce côté là, peu importe, il n'est pas raffiné. ✣ CARACTÈRE : « Des efforts, Seyton, juste...essaye d'en faire » - un sourire flotte sur ses lèvres, masque qu'il revêt lorsque la réalité est bien trop dure à entendre, à conceptualiser. Réalité qui fait de lui quoi ? Quoi ? Un raté ? « Tu te sabotes toujours ». Il ne se sabote pas, la providence s'en charge à sa place, il subit. Il vit. Il tente d'aller de l'avant, tout ce qu'il réussit c'est le sur-place. Seigneur, il s'enlise, il le fait avec cet exact rictus qui joue sur ses joues en y creusant d'adorables fossettes. Sa sœur peut lui raconter toutes les conneries, les filtres sont posés, il n'entend plus que ce qui l'arrange. « Je t'aime, hein » - il secoue la tête, si son regard ne fuit pas celui de sa cadette, il se fait absent. Insondable comme un océan houleux, un océan confus, foireux. Égoïste, Seyton, égotiste, Seyton , perdu dans l'irraisonnable, insouciant, irresponsable. Il est le vilain garnement toujours prêt à divertir. Il a la fraîcheur des crépuscules et la folie des nuits noires. Fou, parfois foutu, il se laisse emporter par la monotonie d'une vie qu'il rejette. Aucun scrupule, aucun regret. Des illusions envolées. Il sait ce qu'il veut, sait ce qu'il ne veut pas, ce qu'il peut (faire, apprécier). Orgueilleux, Seyton pas suffisant, il tend la main à quiconque en a besoin – l’intérêt le meut. Seyton, fieffé menteur. « Ça me touche ce que tu dis » - il commence, une grimace tiraillant ses traits ( parler, évoquer ses sentiments a toujours quelque chose d'amer). « mais, si tu penses m'filer la larme à l'oeil... ». Il a envie de dire : tu sais qu'c'est pas mon genre. Il est instable, il est condamnable. De toute façon, il est c'qu'il est alors. Faites avec et puis c'est tout. ✣ GROUPE : THE FLOATING VOTERS ✣ AVATAR : Max Irons who you areSon cellulaire. Des numéros, ces contacts, ces hypocrites qu'il salue poliment du majeur. Des messages qu'il n'a jamais eu la foi de supprimer, pas le courage, l'attitude lâche du mec menotté par l'inclinaison aigre-douce du passé envers sa si modeste personne. Ses erreurs criardes. Des textes venant d'Elle. Puis d'eux. De lui. Des attaques éclairs sur sa gueule lancées, lors des nuits d'encre, du sommeil délestées. Des photos, aussi. Des applications dont il se demande la fonction, foutues là par son petit frère. Son portable lui sert à socialiser et, il se rend compte que ce n'est pas toujours de la meilleure manière plutôt de celles qui filent des regrets. + Sa vie n'a rien d'un vieil Indiana Jones ou d'une épopée. Des hauts, des bas, des jours avec, des jours sans, des jours comme des autres et l'impression pérenne d'être coincé dans une dimension qu'il n'aime pas. Seyton coincé, Seyton réduit. Conservateur territorial du patrimoine ? Il est bien loin de l'archéologue qu'il a toujours rêvé d'être, élevé aux histoires racontées, aux aventures vécues par son grand-père. Il aimerait aller au Caire, il aimerait visiter des temples d'Amerique du Sud. Il aimerait. Mais il a conscience, maudit, d'avoir des responsabilités. Il les déteste ces responsabilités qui font de lui le mec chiant qu'il n'aurait jamais voulu devenir+ Seyton, il joue du piano. Il s'assoit, se doigts se posent sur les touches et il se laisse, il se laisse happer par le moment, il se noie dans l'instant, fait abstraction des frustrations essuyées. Il le fait toujours en fumant un cigare et en buvant. + Parce qu'il boit. Parce qu'il voit qu'il s'agit d'un problème, parce qu'il a essayé de combattre l'inclinaison mais qu'il s'est fait terrasser. Le séjour en désintox n'a pas aidé. Il a réussi à soudoyer le personnel. L'argent, quelque chose dont il n'a jamais manqué. Merci à sa famille d'aristocrates avec balais dans le cul. L'héritage n'a pas souvent tout du fardeau + Il honore toujours ses engagements. Peut-être qu'il ne les honorera pas avec ponctualité. Déjà qu'il n'a qu'une seule parole, pas la peine d'en rajouter. Il fait ce que bon lui semble. making history
I’ve learned that I still have a lot to learn. « Ils veulent te voir » - ses parents. Bien sûr qu'ils veulent le voir. Ils savent pertinemment que son départ n'avait rien d'un départ anodin. Un départ anodin n'a jamais rien de précipité. Un départ anodin aurait voulu qu'il passe leur dire au revoir, avant de monter dans son avion en direction du pays du hamburger démesuré. « Ils veulent savoir pourquoi » - ils veulent le regarder et le juger. Ils veulent savoir, au fond, où est-ce qu'ils ont foiré ? Éducation parfaite, rien à redire. « Ils ne me verront pas de si tôt » - il crache, allumant une cigarette, ses iris céruléens portés sur la rue. Les passants, des visages qu'il ne reconnaît pas. Plusieurs mois au loin, c'est un peu comme si. Comme s'il ne se comprenait plus. La vérité est là, elle se faufile sous ses yeux. Fuyante. Scabreuse. « Ils veulent me dispenser un sermon et on sait tous les deux quel en sera le sujet » - l'alcool, son vice, son principal péché. Sa mère doit sûrement penser qu'il est sage. Qu'il n'a aucune vie sexuelle. Quelle mère imaginerait pour ses enfants une putain de vie de débauche ? « Tu es loin de... » - il hausse les épaules, Seyton, comme ce morveux capricieux qu'il n'est plus mais que quiconque – à cet instant précis – est capable de distinguer au fond de ses mirettes azurées. « Tu es têtu » - il est surtout : perdu. Il ne veut être la « cause » de personne. Certainement pas celle de ses parents. Il voudrait que sa sœur comprenne l'étendue de son mal être et aussi, celui de son j'm'en-foutisme. Il écarte les bras, blasé : « est-ce que ta vie privée est pourrie à c'point ? T'as rien d'mieux à faire que fourrer ton nez dans mes affaires ? ». Peut-être que s'il réfléchissait un peu, il remarquerait qu'elle veut juste l'aider. Que son affection est inconditionnelle, qu'il devrait en profiter. Parce qu'il en connaît des cons qui lui ont tourné le dos. « Arrête d'être stupide, Sey. Tu ne me repousseras pas. T'as compris ? ». S'il reste de marbre, à l'intérieur, il fond. Seyton, il aimerait bien arrêter de gâcher sa vie. Mais il est virtuose et pour une fois qu'il réussit quelque chose. «Keenan te demande s'il peut venir passer quelques jours avec toi » - il tourne la tête. « Keenan qui ? ». Ses lèvres ne forment plus qu'une ligne nette. « C'est ton frère, bon sang ! ». Frère ou balance, il ne sait plus. « Ce n'est plus rien. Même l'messie a eu son Judas. Tous les meilleurs en ont eu un ». Mais il n'a rien d'un meilleur, Seyton. Puis, l'messie, il a dit de tendre l'autre joue. Lui, il tend plus rien. ◆ « Cognac » - il se contente de souffler, il s'installe dans un coin de ce pub un peu trop bondé. Enfumé. Il exècre les endroits de ce genre, fréquentés par des lycéennes aux hormones déglinguées. Il prend une profonde inspiration, se passe une main dans les cheveux. Ses mains tremblent, d'ailleurs. Elles tremblent souvent, il s'en rend compte et fait semblant de ne rien voir. Il les planque dans les poches de sa veste, en général. Dans l'une des poches, il y a une flasque, il va demander à la barmaid de la remplir, plus tard. Bien sûr, il va flirter avec elle.(...) « Au bout du cinquième, je n'serai même plus capable de vous regarder dans les yeux » - elle sait, la barmaid, qu'il va commencer à la regarder plus bas, niveau poitrine. Comme ils le font toujours, les mecs comme lui. Parce que oui, des mecs comme lui, il y en a des tas. Fonction principale : Pilier de bar. Ça embellit les CV. Distinction qui réchauffe le cœur, vraiment. « Vous, vous êtes jolie même sans que l'alcool ne vienne aider ». Est-ce un compliment ? Certainement pas. (…) Entamé, Seyton, il est désormais capable de tomber amoureux de tout et de n'importe quoi. Aussi bien d'un verre vide, d'un tabouret, de la cagole qui s'installe à deux pas. Ou bien de la chevelure brune qui flotte juste là. Sous ses yeux concupiscents. Il s'en approche, imperceptiblement, hume cette odeur de shampoing, de cigarette, ça lui fait salement tourner la tête. Si l'alcool y est pour quelque chose, ses neurones imbibés préfèrent l'idée d'un coup de foudre, l'idée d'une brise par laquelle il aimerait être emporté. Un sourire étire ses traits, le chanteur sur scène poursuit sa représentation, lui écorche les oreilles. Pas son style. Il n'aime pas quand ça se raconte trop. « T'en penses quoi, Seyton ? » - au sixième verre, Barmaid a fini par le tutoyer. Ça offre une intimité, puis la Jack Daniels peut être très bonne thérapeute – pour info, moins coûteuse, pour les bourses économes. « Ce mec a autant d'utilité qu'un poteau et autant de charisme, aussi » - il est moqueur, toujours orienté sur la provocation. Il n'y peut rien, son code génétique réclame, en est criblé. « Un peu comme vous » - chevelure brune se retourne. Il arque un sourcil, Seyton, pas le moins du monde vexé mais sa curiosité est piquée. Inconsciemment, un sourire étire ses lèvres et le plus surprenant c'est qu'il atteint les yeux, sourire faux-jeton. « Tiens, tiens » - il souffle, portant à ses lèvres le breuvage commandé. « Quoi ? Toi aussi t'es là pour baver sur lui ? » - le contraire aurait pu le surprendre. Comment elle s'appelle ? Aucune idée mais, il se souvient d'elle, de leur rencontre dans les chiottes d'un lycée quelconque. Son ancien bahut quelconque. « On se connait, peut-être ? Je ne pense pas que ce soient tes affaires» - elle l'a reconnu, il a vu dans son regard briller la lueur. Cette lueur qui l'oblige à rajouter une couche. Elle brille pour lui, lueur. « Tu as raison, tu as raison. Tu dois certainement avoir fait du chemin depuis notre dernière rencontre » - comme par exemple avoir acheté son premier soutien gorge, cette pensée lui tire un rire. « Il te baise, alors ? » - cette idée le contrarie un peu, bizarrement. Il lève les mains à hauteur de ses épaules, abdique : « ce ne sont pas mes affaires, c'est vrai. Je n'y suis pour rien, la curiosité du vieux con qui se fait chier dans sa vie ». Il lève son verre, à la tienne, pense-t-il, buvant cul sec. Il se lève avec une dextérité particulière pour une éponge à bière. « A la prochaine, la baveuse » et avant qu'elle n'ait le temps d'ajouter quoique ce soit, il s'en va en lançant un : « On fera en sorte que ça ait lieu plus vite cette fois ». Il s'en fiche, Seyton qu'elle ait à peine l'âge de voter. Il s'en fiche, Seyton. C'est une constante dans sa vie. - informations sur le joueur:
✣ PSEUDO : MΛG.LE ✣ ÂGE : l'âge ✣ COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? j'y ai été il y a longtemps ✣ VOS SÉRIES : got, penny dreadful, sherlock, marvel (AOS, AC),graceland, devious maids, fresh off the boat, poldark, downton abbey, suits et là, c'est juste celles dont je me rappelle ✣ UN DERNIER MOT ? j'aimerai bien avoir des liens et , en ce qui concerne MAX il est pas dans le bottin mais, un avatar est présent, so...idk ( quoiqu'il arrive, ici, ça vend trop de rêves)
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