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| | (ash) il y a dans tout homme, à toute heure, deux postulations simultanées : l’une vers Dieu, l’autre vers Satan. | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: (ash) il y a dans tout homme, à toute heure, deux postulations simultanées : l’une vers Dieu, l’autre vers Satan. Mer 10 Juin - 0:59 | |
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AVATAR + HARVEY NEWTON HAYDON - CRÉDIT + SWEET DISASTER
ashley dickinson ❝ fuck off ❞ ✣ NOM : dickinson. ✣ PRÉNOM : ashley, un prénom de gonzesse mais les gens ont appris qu'il vaut mieux pas te le faire remarquer. ✣ ÂGE : bientôt vingt-sept. ✣ LIEU DE NAISSANCE : t'es né à painswick, puis t'as voulu voir ailleurs, plus grand, et t'as vite déchanté. ✣ MÉTIER/OCCUPATION : homme à tout faire. T'es le type qu'on appelle pour réparer une fuite d'eau, changer une ampoule ou couper du bois. T'as démontré depuis le temps que t'es agile de tes dix doigts mais parfois ça suffit pas et t'es à un cheveu de retomber dans tes travers. T'es aussi volontaire pour aider où tu peux dans la ville à titre gracieux, histoire de te racheter une conscience servir Dieu. ✣ SITUATION AMOUREUSE : t'as autre chose à penser en ce moment. Mais tu n'perds pas de vue l'objectif de te trouver une jolie nana sans beaucoup de poitrine. Seulement t'as bien l'intention d'y aller doucement. Trèèèèès doucement. ✣ ORIENTATION SEXUELLE : t'essaies d'élargir tes horizons au-delà des torses musclés et des barbes de trois jours, parce qu'apparemment c'est pas la bonne voie à suivre. Mais t'es pas vraiment prêt à toucher un nibard, alors tu te déclares en pause spirituelle. T'as déjà merdé, deux fois, mais t'es allé te confesser direct alors ça compte pas vraiment, pas vrai ? ✣ CARACTÈRE : râleur; protecteur; sanguin; parano; réfléchit trop; généreux; colérique; impatient; taquin; sans gêne; provocateur; vulgaire; franc; obsessionnel; bordélique; opportuniste. ✣ GROUPE : the old guard ✣ AVATAR : harvey newton haydon who you aret'as toujours été sujet à des troubles de la gestion de la colère. T'es désormais contraint de te faire soigner, obligation de ta conditionnelle. Tu participes à un groupe comme les alcoolos anonymes, version tarés colériques. Paraît que brûler le paillasson de son voisin parce qu'il a encore pris ta place de parking, péter le nez d'un détenu parce qu'il a piqué ton dentifrice, heurté un vélo en voiture parce qu'il a jeté une canette de coca sur la route, ça ne se fait pas dans une société civilisée. Dès que tu sens que ça monte, tu fais claquer un élastique autour de ton poignet. Clac. Clac. Clac. Pour éviter de déraper. + t'es parti en taule pendant trois ans pour vol et recel d'objets volés avec cinq circonstances aggravantes (dans un local d'habitation, avec effraction, avec dissimulation de tout ou partie du visage, avec violence ou usage d'une arme, par plusieurs auteurs). T'es actuellement en libération conditionnelle et t'as intérêt à te tenir à carreaux si tu veux pas y retourner. + tu lis assez lentement et t'as commencé à apprendre à écrire en cabane mais t'as encore beaucoup de mal. Tu poursuis ton apprentissage mais ça te fait vraiment chier. + t'as trouvé Dieu là-bas. La Bible est devenue ta nouvelle ligne de conduite mais t'as un peu de mal à suivre les préceptes qu'il y a marqués dans ce bouquin. D'abord parce que tu mets une heure à déchiffrer une page, et puis tu t'es rendu compte que 80% de tes actions vont à l'encontre de tout ce qu'il dit. Tu voles, tu jures, t'aimes pas ton prochain, tu baises des mecs, tu pisses sur le mur des églises ... Bref, t'as beaucoup de boulot mais t'y crois, que tu vas réussir à lui faire plaisir. Même si ton confesseur a plutôt l'air d'avoir envie d'aller se pendre à chaque fois qu'il t'aperçoit. + t'essaies vraiment de faire le bien autour de toi. T'es bénévole pour un tas de trucs du genre servir la soupe aux clodos, aller parler de ton expérience dans les écoles pour calmer les ardeurs des petites frappes, organiser la kermesse du village. T'es toujours là, à proposer ton aide. C'est vrai que parfois tu le fais un peu brusquement, à ta manière, mais on ne peut pas te reprocher de ne pas avoir de bonne volonté. + tu fais aussi tout ça pour prouver à ta famille que t'as changé. A ta petite sœur qui a arrêté de te parler, et à ta mère qui venait te voir au parloir en pleurant que c'était de sa faute, qu'elle aurait jamais dû t'avoir à seize ans. Et puis pour ton nouveau frangin qui te prend pour exemple, histoire d'éviter que ton papa biologique nouvellement apparu dans ta vie n'engage un tueur professionnel pour t'éliminer de la carte. Même s'il prétend qu'il veut t'aider et qu'il essaie de t'intégrer à leur monde de coincés du cul et de faux semblants où t'es pas du tout à ta place, tu sens bien qu'il attend qu'une occasion pour te remettre en taule. Tu fouilles tes affaires au moins une fois par semaine pour vérifier que personne n'a glissé de la drogue quelque part. On n'est jamais trop prudent. + si à chacune de tes injures tu gagnais un centime, tu serais milliardaire. + en matière de relationnel tu fonctionnes par pulsion, feeling, obsession. Soit ça passe, soit ça casse, et tu te fies souvent à la première impression. T'as tendance à prendre le premier venu que t'apprécies pour ton pote, et tu l'appelles à 4 heures du mat' pour qu'il vienne te chercher en bagnole parce que t'es torché et qu'on t'a volé tes baskets alors que tu l'as rencontré y'a trois jours. Mais toi, tu le ferais. En traînant des pieds et en le traitant d'abruti, mais tu le ferais. Quand on te déçoit de ce côté là, c'est souvent définitif même si t'es plus à même d'accorder des secondes chances après ton passage en prison. + t'es le genre de gars pas classe qui crache dans la rue, rote devant le maire, avale le champagne cul-sec, pisse dans la piscine et mange le couscous avec les doigts. Tu fais un peu exprès parfois, mais t'es surtout très mal éduqué. + t'as toujours été doué pour bricoler, alors t'as naturellement proposé tes services à la population de ta ville natale puisque c'est assez compliqué de faire venir des spécialistes dans la cambrousse. L'école, la poste, le cabinet médical, les particuliers, ils font tous appel à toi pour réparer des trucs ou installer des appareils. Quand tu débarques chez quelqu'un et que t'entends la poignée grincer, tu peux pas t'empêcher de la bidouiller, déformation professionnelle. + parfois tu piques des trucs là où tu vas bosser par réflexe, des objets de valeur -ou pas-, puis tu te rappelles que c'est mal et que tu pourrais bien retourner en taule. Alors tu remets tout en place ou tu t'en débarrasses discrètement. + tu vis dans une caravane en bordure de la propriété de ta mère, un truc un peu déglingué et étroit comme un couloir mais c'est toujours mieux que ramper sous un point. + tu gobes beaucoup trop de sucre pour ta santé. Un jour tu crèveras sans doute de diabète + tous les matins tu fais un footing d'une heure et demi pour évacuer les frustrations et bien commencer la journée. Autant dire que si tu ne cours pas, vaut mieux pas que tu sortes de chez toi parce qu'une fourmi traversant devant toi pourrait bien te contrarier. making history taule. « Oh mon Dieu mon chéri, qui t’a fait ça ? » Ta mère effleure la cicatrice sur ta pommette rougie. T’expires. « C’est rien t’inquiète. » T’écartes ton visage pour rompre ce contact gênant, glissant une main sur ta nuque en fixant le sol. « Qu’est-ce que t’as fait Ash, tu t’es encore énervé ? » T’aurais dû la regarder dans les yeux putain, elle te connaît par cœur. Elle sait que quand t’évites ses iris clairs, c’est parce que t’es à blâmer dans ce qui t’arrive. « Pourtant ils ont dit que tu suivais un programme pour t’aider là-dedans, s’ils font pas leur bou … » « Ca va je t’ai dit, écrase ! » Tu la coupes sèchement, le ton un peu trop élevé pour l’un des gardiens qui te fait signe de te calmer. « Oh Shelly, je suis tellement désolée. » Tu grinces des dents à ce surnom ridicule, la mâchoire crispée. Merde, elle va s’mettre à chialer c’est sûr. Tu le sens à son intonation faiblarde, à son regard humide, à sa lèvre inférieure qui tremblote, à sa main qui cherche la tienne sur la table. Tu détestes quand elle se met dans ces états. Parce que tu sais que c’est de ta faute. Que ta mère est malheureuse à cause de tes conneries et t’as du mal à te le pardonner. Le pire, c’est qu’elle s’imagine que c’est elle, la responsable. Que c’est parce qu’elle t’a eu à seize ans. Que c’est parce qu’elle a consommé de la drogue. Que c’est parce qu’elle a batifolé avec quelques hommes. C’est sûr que ça ne t’a pas aidé, mais ça n’excuse pas tout. Ta mère a toujours été présente, elle t’a jamais abandonné. « J’aurais dû faire plus attention, j’étais trop jeune. Quand tu sortiras d’ici on va tout reprendre à zéro mon chéri. » Tu n’vois pas bien ce que tu feras une fois dehors. Déjà que tu t’en sortais pas vraiment avant, alors avec un casier judiciaire tu te traînes un boulet supplémentaire. Personne ne va jamais vouloir t’embaucher, même dans ton village natal où les gens pourraient éprouver une once de compassion pour ta famille. « Je sais. » Tu dis, pour la rassurer. Finalement t’es pas si mal ici, si on oublie l’enfermement. T’apprends à écrire. T’apprends à te contrôler. T’apprends à aimer ton prochain. Tu t’sens pas prêt à sortir, pas tout de suite. T’aurais jamais imaginé dire ça un jour, mais la taule quelque part, ça t’est utile. « Elle est pas là Billie ? » Tu commences à t’inquiéter pour ta sœur, ça fait déjà trois fois que ta mère vient seule et cette fois tu captes clairement son malaise. « Maman y’a quoi ? Elle va bien ? » Ta la voix qui s’casse et le cœur qui s’emballe. Tu t’imagines déjà qu’elle a crevé dans un accident de voiture et que ta mère n’ose pas te le dire. Tu serres sa main un peu trop fort, parce qu’elle fait une grimace. « Tout va bien ne t’inquiète pas. C’est juste que … qu’elle ne veut plus venir ici. Je crois que la prison ça l’effraie un peu. » C’est quoi ces conneries ? Tu recules ton dos sur la chaise et ton regard devient dur. Tu sais bien qu’elle a plus de couilles que ça, que cet endroit ne lui file aucun frisson. « Elle veut plus m’voir c’est ça ? Je lui fais honte ? Elle est trop bien pour moi maintenant ? » Tu hausses le ton une nouvelle fois. « Tu lui diras d’aller s’faire mettre. Et puis qu’elle crève, j’en ai rien à foutre ! » Cette fois le gardien s’est approché de toi. « Qu’est-ce que t’as toi, tu crois que tu m’fais peur ? VA T’FAIRE ENCULER ! » Tu hurles, rameutant deux gardiens qui te plaquent contre le sol. « Ashley, Ashley ! » C’est ta mère qui beugle maintenant, qui s’met à pleurnicher. Bordel, t’en as marre d’être énervé comme ça tout le temps. C’est fatiguant.
maison de ton père. Du pinard, Dieu soit loué. Finalement, le grand manitou en a peut-être quelque chose à foutre de toi depuis son piédestal perché dans les nuages. Tu déchiffres « Montrachet Grand Cru » sur la bouteille placée au centre du plateau que t’attrapes entre tes doigts sous le nez du serveur qui entrouvre les lèvres en levant un doigt, hésitant. « Ça va j’suis pas handicapé, prend ta pause mec. » Sérieusement, même un tétraplégique est plus débrouillard que cette brochette de coincés du cul en costard incapables de se servir un verre de vin ou des petits fours au caviar. Ils ont peur de se salir les doigts ces pauvres messieurs dames, faut les comprendre. Merde, t’es encore négatif. Tu sais bien que c’est pas bon pour toi d’être négatif comme ça. Faut te focaliser sur l’apport de cette soirée. Ça fait de l’emploi. Ouais, s’il n’était pas là à servir du champagne dont la bouteille couvrirait le déficit annuel du Liberia, ce pauvre garçon serait peut-être en train de dealer de la coke au coin de la rue. […] C’est sûr c’est pas très convaincant, mais au moins t’as essayé. A la place tu vas te rencentrer sur ce petit blanc qui coule allègrement dans le verre à ballon. A le voir comme ça on dirait de la pisse. « T’en veux une goutte ? » Tu demandes subitement au serveur qui devient livide. « Non merci Monsieur. » Non merci Monsieur. Quel lèche-cul. T’hausses les épaules. Tant pis, ça en fera plus pour toi. Sauf que quand tu portes le liquide jaunâtre à tes lèvres tu fronces les sourcils et tes lèvres adoptent une moue dégoûtée. BARK, c’est infect ce truc. T’es persuadé que tous ces gens se forcent à boire cette merde parce que ça fait bien, de boire du vin. Mais toi, t’as aucune obligation. Et puis personne ne te regarde. Alors tu t’empares de la bouteille de coca que tu mélanges à ton verre qui passe de plus de 1 000 dollars à 0 à mesure qu’il noircit. Ouais, c’est bien meilleur comme ça. « Eh salut frangin ! » Tu sursautes légèrement quand la demi-portion t’interpelles et t’ouvres des yeux ronds comme des soucoupes. Putain, votre père va te flinguer cette fois, c’est sûr. Parce que son fiston chéri est habillé comme une vraie racaille des clips américains. Baggy, chaîne en or –à tous les coups c’est du vrai, tu devrais essayer de lui demander de te la filer pour penser à lui quand tu t’endors-, casquette vintage, débardeur large, veste léopard. Putain, veste léopard. Quand même, il a mis le paquet le gamin. Toi ça te tires un rire que tu ravales en pinçant les lèvres. Les invités se retournent déjà sur lui en ramenant leur main devant leurs bouches en signe de désapprobation. Oh la la il a osé faire dépasser son caleçon. Ils vont en faire des cauchemars, pour sûr. N’empêche, sachant que t'es désormais son modèle, c’est assez vexant pour ton style vestimentaire très soigné et bien loin des clichés qu’il affiche. Même toi, ça te pique les yeux. « Merde, mais on m'avait pas prévenu que c'était soirée déguisée. » Tu fais remarquer en te mordillant la lèvre, mais il n'a pas l'air vexé pour un sou. Alors tu captes que le morveux est fier de lui et que tout ce cinéma, c'est juste un moyen supplémentaire de faire criser le père. Bordel, il pourrait pas faire ça quand t'es pas là ? « J'en ai trop fait ? » Tu lèves les yeux au ciel en sirotant ton cocktail inventif, passablement agacé. « T'es qu'un petit con Dumbo, t'as pas fini d'bousiller mes chances de toucher un héritage de prince ? » Parce que si t'es là, c'est uniquement pour le pognon. Pour que papa te lâche un peu de blé. Pour lui montrer que t'es présentable. Que t'es un nouvel homme. Un bosseur. Un mec de foi. Un gars qui est rentré dans le rang. Et puis parce que tu peux boire et bouffer gratos pendant toute une soirée, même si le caviar est amer et le vin dégueulasse, tu vendrais ta mère pour leur saumon fumé. T'as pas l'habitude de manger autre chose que du poisson en bâtonnets surgelés, toi. Alors tu l'aimes bien le nabot, mais il s'interpose entre le fric et toi. [...] C'est mal d'être obnubilé par l'argent comme ça. Faudrait que tu sois animé par un désir de nouer des liens solides avec ta nouvelle famille. D'ailleurs tu l'es. Un peu. Quelque part. Est-ce que si on se le répète assez de fois, on peut s'en convaincre ? Putain, encore un truc que tu vas devoir confesser "le fric est toujours mon talon d'Achille, je suis un putain de gros vautour qui tourne autour de son propre sang pour un peu de blé." C'est pathétique, ton confesseur va encore te faire réciter des je vous salue marie à la pelle. « Je vais t'en filer moi du pognon. » Sérieusement ? [...] Bon ok, ok, pf. « J'en veux pas d'ton fric, t'es malade. » « Il est à papa de toute façon. » Elle est belle la jeunesse. « Sale gosse de riche. » Tu lâches un rot gracieux avant de jeter un oeil à droite et à gauche pour vérifier que personne ne t'a entendu. Si c'est le cas, tu devras t'excuser. Comme si les gens ne savaient pas que boire du coca a des conséquences naturelles. Encore un truc qui t'échappe. « C'est pas moi qui ruine une bouteille à 7 000 dollars avec du Coca-Cola. » Tu crois pas qu'il aurait pu le dire avant cet abruti ? T'y aurais pas touché à cette saloperie, t'aurais piqué la bouteile !
appartement du type. « Tu sais qu’une poignée de porte n’a aucune valeur ? » Merde tu l’as réveillé. Tu savais bien que t’aurais dû te tirer sur la pointe des pieds sans t’attarder sur cette foutue poignée. Mais quand tu l’avais actionnée, ça t’avait hautement stressé. Elle t’avait hypnotisé la conne. Et là, t’as les billes fixées sur la silhouette à moitié à poil du mec pour lequel t’as trahi Dieu. Encore. « T’insinues quoi là ? » Tu t’arrêtes, menaçant. Il te traite de voleur ou c’est toi qui rêve ? C’est clair, c’est un peu l’hôpital qui s’fout de la charité que tu t’agaces pour une vérité, mais tu n’peux pas t’en empêcher. Déjà qu’il t’énerve à te regarder comme ça, à s’balader en slibard comme s’il était chez lui –ouais ok, il est chez lui-, à esquisser ce petit sourire narquois, à te filer des frissons juste en étant là. Tu lui en veux de te mettre dans tous tes états, parce que t'avais promis au Monsieur là-haut que tu ferais plus ce genre de conneries dans tes prières. T'avais juré sur la vie de ta mère avant de te raviser parce que jurer c'est mal. Heureusement, sinon ta mère aurait été mal barrée. Tu t'en veux du coup, d'être aussi faible. Pourtant t'avais lorgné cette petite blonde toute la soirée et tu t'étais enfilé une demi bouteille de whisky en espérant que l'alcool te permettrait de passer le cap. A la place, t'avais fini ici. Avec lui. Mission complètement foirée. « Sérieusement, c’est de l’alu avec une peinture dorée. » Putain il mériterait que tu lui colles ton poing dans la tronche. Pourtant t’éprouves pas le besoin de claquer ton élastique. T’arrives à prendre sur toi et c’est un sacré progrès. T’es trop fier de toi. « Elle ferme mal et elle grince, ça m’a angoissé toute la nuit. » Tu grognes en reprenant ton ouvrage, super concentré. « Tu pensais à ça pendant qu’on baisait ? A la poignée de porte ? » Ton doigt glisse et la poignée en question tombe sur le sol dans un grand fracas. Plus gênant, tu meurs. C’est quoi ces questions à la con ? Tu le mates quelques instants et tu vois bien que ça l’amuse. « Tu veux pas la fermer ? Tu m’déconcentres. » Tu récupères l’objet entre tes mains avant d’enfoncer la vis dans l’un des trous. Il se décide enfin à s’éloigner vers l’évier de la cuisine américaine et à garder le silence. T’y crois presque, que tu vas réussir à terminer ça tranquillement. « Thé ou café ? » Tu soupires, exaspéré. « Je reste pas pour le petit-déj. » Sans déconner, ta la gueule du type qui reste faire des câlins et prendre ses œufs brouillés ? Tu l’connais même pas c’mec. « C’est pas un petit-déj, il est treize heures. » Vraiment agaçant. Mais bon, s’il est treize heures … « Café. Serré. Quatre sucres. » Tu peux sentir son regard posé sur toi, il doit certainement se demander si t’es en train de te foutre de sa gueule. « J’suis hypoglycérique. » « Tu veux dire hypoglycémique ? » Voilà putain, il t’a saoulé. « Vas-y laisse tomber tu me casses les couilles. » Tu te relèves, laissant de nouveau tomber la poignée sur le parquet, puis tu te diriges vers la sortie en grommelant un truc incompréhensible. « Et ma poignée ? » « Tu te la fous au cul ta poignée. » T’accompagnes même ta remarque d’un majeur levé dans ton dos avant de claquer la porte d’entrée. « Charmant. » - informations sur le joueur:
✣ PSEUDO : écrire ici ✣ ÂGE : vingt-six, snif. ✣ COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? pub sur bazzart. ✣ VOS SÉRIES : vous les voulez toutes ? hannibal, vikings, daredevil, got, supernatural, the night shift, in the flesh, criminal minds, looking, shameless us, vampire diaries, etc ... ✣ UN DERNIER MOT ? je suis un escargot professionnel pour répondre aux liens avant inscription Sinon je surkiffe mais alors je surkiffe vos smileys Puis vous avez l'air trop cool
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (ash) il y a dans tout homme, à toute heure, deux postulations simultanées : l’une vers Dieu, l’autre vers Satan. Mer 10 Juin - 7:26 | |
| Harvey Et vu ce que tu as marqué, ton personnage promet d'être amusant avec ses cas de conscience Bienvenue et bon courage pour ta fiche |
| | | Alfie Rhys
- MESSAGES : 556 - AVATAR : Aaron Johnson. - CRÉDITS : primbird - ÂGE : twenty-four year old. - EMPLOI : médecin - SECRETS : too many for you to understand. - POINTS : 453 (-) WHO WE ARE- SITUATION: as free as a bird.- RÉPUTATION: joli coeur.- RELATIONSHIPS:
| | | | Chris E. Donnelly
- MESSAGES : 822 - AVATAR : Taron Egerton - CRÉDITS : Cheschirecat - Tumblr - ÂGE : 22 ans - EMPLOI : Entre deux jobs - POINTS : 450 (-) WHO WE ARE- SITUATION: Célibataire- RÉPUTATION: - RELATIONSHIPS:
| Sujet: Re: (ash) il y a dans tout homme, à toute heure, deux postulations simultanées : l’une vers Dieu, l’autre vers Satan. Mer 10 Juin - 9:18 | |
| le gif avec le chien Bienvenue bon courage pour ta fiche |
| | | Violett Dashwood ~ ROSES IN THE RAIN
- MESSAGES : 665 - AVATAR : Lily Collins - CRÉDITS : tumblr + schyzophrenic - ÂGE : 22 ans - EMPLOI : Danseuse classique du Royal Ballet - SECRETS : Danseuse classique cocaïnomane dépressive célèbre - POINTS : 900
| Sujet: Re: (ash) il y a dans tout homme, à toute heure, deux postulations simultanées : l’une vers Dieu, l’autre vers Satan. Mer 10 Juin - 9:22 | |
| WOW beau gosse ! :D Bienvenido à toiiii ! Si tua s des questions n'hésite pas ! |
| | | Eleanor Dashwood
- MESSAGES : 610 - AVATAR : hayley atwell. - CRÉDITS : avatar@Lannisters, sign@tumblr. - ÂGE : trente-huit ans. - EMPLOI : bibliothécaire bénévole. - SECRETS : aucun, voyons. - POINTS : 534
| Sujet: Re: (ash) il y a dans tout homme, à toute heure, deux postulations simultanées : l’une vers Dieu, l’autre vers Satan. Mer 10 Juin - 9:44 | |
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| | | Invité Invité
| | | | Charlie H. Debenham
- MESSAGES : 292 - AVATAR : Dylan O'Brien - CRÉDITS : mia san mia & tumblr - POINTS : 45
| Sujet: Re: (ash) il y a dans tout homme, à toute heure, deux postulations simultanées : l’une vers Dieu, l’autre vers Satan. Mer 10 Juin - 12:58 | |
| qui est ce beau mâle que je ne connais pas encore mais que je vais tout de suite aller googler ? je le laisserais pas dormir dans la baignoire, c'est sur bienvenueeee |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (ash) il y a dans tout homme, à toute heure, deux postulations simultanées : l’une vers Dieu, l’autre vers Satan. Mer 10 Juin - 23:50 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (ash) il y a dans tout homme, à toute heure, deux postulations simultanées : l’une vers Dieu, l’autre vers Satan. Jeu 11 Juin - 8:28 | |
| qu'il est beau bienvenue parmi nous |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: (ash) il y a dans tout homme, à toute heure, deux postulations simultanées : l’une vers Dieu, l’autre vers Satan. Jeu 11 Juin - 18:22 | |
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| | | Charlie H. Debenham
- MESSAGES : 292 - AVATAR : Dylan O'Brien - CRÉDITS : mia san mia & tumblr - POINTS : 45
| Sujet: Re: (ash) il y a dans tout homme, à toute heure, deux postulations simultanées : l’une vers Dieu, l’autre vers Satan. Ven 12 Juin - 9:23 | |
| mon dieu, j'ai adoré ta fiche c'est hyper original de l'écrire comme ça et je suis déjà fan de ton perso il nous faudra un lien en tout cas elle est parfaite, je te valide de suite |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (ash) il y a dans tout homme, à toute heure, deux postulations simultanées : l’une vers Dieu, l’autre vers Satan. Ven 12 Juin - 10:40 | |
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| Sujet: Re: (ash) il y a dans tout homme, à toute heure, deux postulations simultanées : l’une vers Dieu, l’autre vers Satan. | |
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| | | | (ash) il y a dans tout homme, à toute heure, deux postulations simultanées : l’une vers Dieu, l’autre vers Satan. | |
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